Notre semaine cinématographique

Cette semaine, nous avons passé environ 12 heures devant le grand écran, ce qui nous a valu quelques remarques désobligeantes, du genre « non mais, vous avez rien d’autre à faire que d’aller au cinéma ? Parce que là, c’est un peu angoissant quand même …. »

Mais au moins, ça nous permet de vous présenter les quatres films que nous avons vus!

FoxCatcher

Le pitch : avant les jeux olympiques de 1988, Mark Schultz, lutteur de métier et son frère Dave, sont appelés par John E. Dupont, milliardaire excentrique, pour monter un club de lutte.

Le film, basé sur une histoire vraie, raconte l’histoire malsaine entre John et les frères Schultz.

On a bien aimé (même si Channing Tatum, qui joue le rôle de Mark, est tout moche et tout grimé)!

Le jeu d’acteur était vraiment exceptionnel (on n’avait même pas reconnu Steeve Carrell dans le rôle de John, ce qui nous a valu une énorme crise d’angoisse à la sortie du cinéma).

Malgré quelques longueurs pendant le film, on vous le recommande.

Wild

Le pitch : Toujours tiré d'une histoire vraie, le film retrace la vie de Cheryl Strayed, ancienne toxicomane qui décide de se lancer dans une randonnée de 4 mois, le Pacific Crest Trail, allant de la frontière Mexicaine au Canada.

On a beaucoup aimé. Les paysages sont à couper le souffle (par contre y a beaucoup de crotales, de chenilles et de renards, âme sensibles, faites attention à vous)

Reese Witherspon, dans le rôle de Cheryl Strayed, joue à merveille et la bande son du film est géniale!

(Je dois avouer que C. a cumulé trois ou quatre micro siestes sur mon épaule…)

A Most Violent Year

Le pitch : New York, 1891. Abel, un immigré qui tente de diriger le milieu du pétrole, se heurte à la violence et à la corruption qui règnent sur la ville à cette époque.

C. a complètement adoré ce film, essayant de trouver le numéro d’Oscar Isaac pour le demander en mariage. En vain.

Les acteurs tous très bons dans leurs rôles (même si Jessica Chastain a des ongles beaucoup trop long, ce qui l’handicape pendant le film, notamment pour taper sur sa machine à écrire).

Une merveilleuse histoire du temps.

Le pitch : l’histoire de Stephen Hawking vue par sa première femme Jane, cosmologue mondialement connu, atteint de la maladie de Charcot, qui va peu à peu le priver de sa motricité.

Alors, on est unanimes sur un point : le jeu d’acteur d’Eddie Redmayne est brillant (avec les paillettes et tout ce qui va avec).

Le film est particulièrement touchant (C. n’a pas forcément aimé, mais ça, c’est parce qu’elle a un glaçon à la place du cœur. Un énorme bloc de glace. Froid. Elle est morte à l’intérieur).

J&C

#cinéma #culture